Page:Béranger, oeuvres complètes - tome 2.pdf/69

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            Narguez vos grands et vos cafards.
            Adieu, car je crains les mouchards.
    À ces gens-là si j’ouvre un jour ma porte,
Je veux, mes enfants, que le diable m’emporte,
        Je veux bien que le diable m’emporte.