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COUPLET
AUX JEUNES GENS
Un jour assis sur le rivage,
Bénissant un ciel pur et doux,
Plaignez les marins que l’orage
A fatigués de son courroux.
N’ont-ils pas droit à quelque estime
Ceux qui, las d’un si long effort,
Près de s’engloutir dans l’abîme,
Du doigt vous indiquaient le port ?