tôt quelques petite portion d’un petit nombre d’écrivains. Quant aux autres, ils pourroient encore être de quelque usage dans les bibliothèques où on les laisseroit subsister, afin que les juges et les avocats pussent au besoin y jeter un coup d’œil. Mais dès qu’il s’agit de plaider, ne permettez pas qu’on les cite au barreau, et qu’ils fassent autorité.
Mais ne souffrez pas que la science et la pratique du droit soient dénuées de livres auxiliaires. Ces livres sont de six espèces ; savoir : les institutions ; ceux qui traitent de la signification des mots ; les règles du droit ; les antiquités des loix ; les sommes et les formules des actions.
Le meilleur livre, pour préparer les jeunes-gens et les novices à étudier les parties les plus difficiles du droit, à puiser dans cette science plus aisément et
