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délié, pour celui de la quantité de matière, dans les animaux, etc.[1].

XXXV.

Au treizième rang, nous mettrons les exemples d’alliance ou d’union. Ce sont ceux qui confondent et réunissent les natures qu’on regarde ordinairement comme hétérogènes, et que les divisions reçues supposent telles.

Maïs les exemples d’alliance montrent que les effets qu’on attribue à tel de ces corps réputés hétérogènes, et qu’on regarde comme leur étant propres, appartiennent aussi à ceux qu’on croit d’une espèce différente, afin qu’on soit bien convaincu que cette hétérogénéité n’est point réelle, ou du moins essentielle, et qu’elle n’est autre chose qu’une simple modification d’une nature commune aux sujets qu’on croit si diffé-

  1. Ces deux espèces d’exemples rentrent absolument dans les exemples ostensifs et les exemples clandestins ; mais ils ont ici une destination un peu différente.