deuxième congrès, et j’espère que tu en es resté satisfait. Enfin, nous avons réussi à le défendre. Nous ferons imprimer les cartes d’adhésion en russe. Consens-tu à donner ton nom, pour le mettre à côté du mien et de celui de Joukovski ? Réponds-moi.
Et comment ça va-t-il avec ta jambe ? Est-ce que tu seras bientôt en état de prendre le bateau qui devra te transporter à Vevey, en compagnie de Pan[1]. Il pourrait envoyer un télégramme pour nous prévenir de votre arrivée à Vevey, où nous aurons à ta disposition une voiture qui te mettra devant ma porte.
Nota. — Le général dont parle Bakounine est Mieroslawski, qui, d’accord avec ses fonctionnaires « panslavistes », l’attaqua plus d’une fois par la voie de la presse. (Voyez Mieroslawski : « Lettre du général Mieroslawski au major Bratewicz », et Bakounine : « Un dernier mot sur M. L. Mieroslawski. » Genève, 1868) (Drag.).
Je ne crois pas possible de faire quelque chose d’utile avant l’arrivée de Mrouk[2]. Quant à travailler en commun, j’y suis prêt et tu as raison de ne pas admettre de ma part une vengeance, qui n’aurait