et qui, par-là même, rencontre un obstacle invincible.
Les lois de la Providence sont irréfragables ; la Providence rétablit l’harmonie de ses lois, à l’instant même où cette harmonie est menacée.
Un long cri de douleur s’échappe de tous les coins de l’immense univers, et apprend que l’intelligence nouvelle a succombé à l’épreuve.
Aussitôt le Créateur est venu au secours de sa créature ; et le décret de condamnation a été un décret de mansuétude et de grâce.
Hébal sentait à-la-fois l’être déchu et l’être réhabilité, ne formant qu’un seul être, un être identique, se reconstruisant lui-même, condamné à marcher désormais dans la voie du progrès pour reconquérir ce qu’il a perdu, l’éclat de son principe ontologique primitif, car le principe, qui seul constitue l’identité, n’a point péri.