Page:Balzac, Chasles, Rabou - Contes bruns, 1832.djvu/313

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chose ?

BOISSEL.

C’est mon canif que je cherche. Je l’ai sur moi ordinairement, mais précisément aujourd’hui…

ROYER.

Tenez, en voilà un et dépêchons-nous, car il faut absolument que nous ayons fini ce soir. (Se promenant à grands pas.) Certain avait-il l’air à son aise avec le secrétaire général ?

BOISSEL.

Comme ça, monsieur.

ROYER.

Que lui disait-il ?

BOISSEL.

Ah ! je n’ai pas pu entendre. (Avec intention.) Mais j’ai bien regretté que vous ne fussiez pas là.

ROYER, vivement.

Pourquoi ? Est-ce que vous pensez qu’il se soit passé quelq