Page:Balzac - Œuvres complètes, éd. Houssiaux, 1874, tome 15.djvu/671

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Qui étoit le plus dolent ; (bis)
Après venoient les pages,
Et bon, etc.,
Et les valets de pied.

Et les valets de pied, (bis)
Avecque de grands crêpes,
Et bon, etc.,
Et des souliers cirés.

Et des souliers cirés, (bis)
Et des beaux bas d’estame,
Et bon, etc.,
Et des culottes de piau.

Et des culottes de piau, (bis)
La cérémonie faite,
Et bon, etc.,
Chacun s’alla coucher.

Chacun s’alla coucher, (bis)
Les uns avec leurs femmes,
Et bon, etc.,
Et les autres tout seul.


Cette découverte curieuse prouverait jusqu’à un certain point la culpabilité de Théodore de Bèze, qui voulut alors diminuer par le ridicule l’horreur que causait cet assassinat. Il paraît que l’air faisait le principal mérite de cette ronde.