Page:Balzac - Le Comte de Sallenauve, Tome III.djvu/81

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— Madame la comtesse de l’Estorade chez moi ! s’écria-t-il ; à quel hasard heureux ou malheureux dois-je l’honneur de cette visite ?

— Tantôt, monsieur, vous avez été bien dur pour nous ! répondit madame de l’Estorade.

— Si les paroles que j’ai prononcées à la tribune ont eu quelque part dans votre indisposition, croyez, madame, que je les regrette, car elles ont été frapper là où je ne les adressais pas. Mais, en vous voyant ici, à cette heure, je dois penser que cette indisposition n’a pas eu de suite.