Page:Balzac - Le Comte de Sallenauve, Tome III.djvu/82

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Et il s’empressa d’avancer des sièges pour ses hôtes.

— Plus malade que je ne le suis, répondit madame de l’Estorade, vous m’eussiez vue encore : rien n’aurait pu me retenir en présence du malheur dont je me sens menacée.

— Un malheur ? demanda Sallenauve.

— Vous n’avez pas lu le journal du soir ? dit M. de Camps en prenant la parole.

— Si vraiment, et j’ai vu que M. de