Page:Balzac - Le Comte de Sallenauve, Tome III.djvu/94

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maintenant posé de façon à pouvoir choisir moi-même mes limites.

— Je ne nie pas cela, dit l’organiste, mais je répète que, violemment agressif, après avoir été d’un égoïsme cruel, M. de l’Estorade ne devait pas s’attendre à une réponse aussi modérée.

— Ce pacifique dénouement, reprit madame de l’Estorade, était en effet assez peu probable pour que mes amis et moi n’ayons reculé devant aucune démarche, lorsqu’elle avait pour but de le ménager. Je dois dire cependant qu’en ayant le droit de se croire généreux, M. de Sallenauve n’aura été que juste ;