Page:Balzac - Le Comte de Sallenauve, Tome IV.djvu/19

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la Saint-Estève, à son pavillon de Ville-d’Avray où il vous prie d’accepter à dîner.

— Soit ; à moins d’un imprévu dont j’aurais soin de vous aviser à temps, j’accepte, répondit M. de Trailles.

Et il courut consulter Franchessini.

Celui-ci fut assez empêché de donner un conseil : ce Vautrin, pensa-t-il, a le diable au corps ! pour faire cuire l’œuf de sa nomination politique, il mettrait le feu à Paris !

En somme, c’était chose délicate que