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CCL. Procès du No 63 de la Caricature. La Caricature, 15 mars 1832.

CCLI. Le Philipotin ; ILes Origines de Philipotin ; IIIntérieur de Philipotin ; IIIFin désastreuse de Philipotin. La Caricature des 22, 29 mars et 5 avril 1832.

CCLII. Sur la destruction projetée du monument élevé au duc de Berry. Le Rénovateur, 31 mars 1832.

CCLIII. Terme d’avril. La Caricature, 19 avril 1832.

CCLIV. La Vie d’une femme. Le Rénovateur, 19 mai 1832.

CCLV. Sur la situation du parti royaliste. Le Rénovateur, 26 mai et 2 juin 1832.

CCLVI. La France et l’Étranger, lettres adressées à la Chronique de Paris. Ces articles, au nombre de quarante et un, ont paru dans les numéros de la Chronique de Paris des 25 février au 24 juillet 1836 ; ceux des 13 et 23 juillet sont datés par erreur dans le volume des 15 et 25.

CCLVII. Six Rois de France ; de Louis XIII à Louis XVIII. Publié pour la première fois en 1837, chez Belin-Mandar, dans le Dictionnaire de la Conversation.

CCLVIII. Revue parisienne. Trois numéros, parus les 25 juillet, 25 août et 25 septembre 1840. La publication de la pièce de vers du marquis de Belloy : Épître du comte de Saint-Germain sur l’inauguration de la statue de Guttemberg, dans le premier numéro, était accompagnée de cette note, supprimée avec la pièce dans l’édition définitive :

Nous donnons cette épître de l’école voltairienne afin de prouver que les louanges données à la poésie du xixe siècle n’impliquent pas l’exclusion de la poésie à idées.

Dans le second numéro se trouve aussi une note de Balzac accompagnant une sextine du comte de Gramont, supprimées toutes deux aujourd’hui. Voici cette note :

Il n’existe pas de sextine dans toute la poésie française en y comprenant les œuvres des trouvères, celles du moyen âge et celles des poëtes modernes.

L’immense difficulté de cette pièce n’a jamais été vaincue que par Pétrarque. Ce poëte a fait quelques sextines qui sont des chefs-d’œuvre de grâce et de facilité. Dans ce petit poème, la pensée doit se montrer aussi libre que si elle ne portait pas un joug pesant et gênant ; en un mot, la fantaisie des poëtes doit danser comme la Taglioni, tout en ayant des fers aux pieds.

Voici ces lois, qu’il est encore difficile d’expliquer avec l’exemple sous les yeux.