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V
ALFRED DEHODENCQ
l semble que les chauds soleils de
l’Andalousie, que les ciels brûlants
de l’Afrique aient laissé leurs flammes
dans l’œil éclatant, fixe et dominateur
de ce grand peintre, où l’on voit passer
l’ombre des pensées dont son front déborde. La bouche,
désabusée et navrée, par moments retrouve un sourire d’une
fraîcheur et d’une jeunesse adorables.
Quand Dehodencq partit pour l’Espagne,
sa chevelure brune, épaisse.