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LA STATUE DE VICTOR HUGO
Hugo, le maître de la Lyre
Où chante un souffle aérien,
Montre en son bienveillant sourire
Qu’il n’est désabusé de rien.
Le Temps jaloux, qui nous assiège,
L’a rendu plus fort et meilleur,
Et sa douce barbe de neige
A des blancheurs d’astre et de fleur.