Page:Barbier - Iambes et Poèmes, 1841.djvu/127

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Pauvre Buonarotti ! Ton seul bonheur au monde
Fut d’imprimer au marbre une grandeur profonde,
Et puissant comme Dieu, d’effrayer comme lui :

Aussi, quand tu parvins à ta saison dernière,
Vieux lion fatigué, sous ta blanche crinière
Tu mourus longuement plein de gloire et d’ennui.