Page:Barbier - Iambes et Poèmes, 1841.djvu/283

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Épilogue

 
Ô misère ! Misère !
Toi qui pris sur la terre
Encore toute en feu
L’homme des mains de Dieu ;

Fantôme maigre et sombre,
Qui, du creux du berceau
Jusqu’au seuil du tombeau,
Comme un chien suis son ombre,

Ô toi qui bois les pleurs
Écoulés de sa face,