Page:Barbier - Les Contes d'Hoffmann, 1881.djvu/32

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SPALANZANI, à Olympia.
Maîtrise ton émotion,
Mon enfant !
OLYMPIA.
Mon enfant ! Oui !
COCHENILLE, rentrant en scène avec une harpe.
Mon enfant ! Oui ! Voilà !…
SPALANZANI, s’asseyant auprès d’Olympia et plaçant sa harpe devant lui..
Mon enfant ! Oui ! Voilà !… Messieurs, attention !…
COCHENILLE.
A… attention !
LE CHŒUR.
A… attention ! Attention !
OLYMPIA, accompagnée par Spalanzani. – De temps à autre sa voix faiblit, Cochenille lui touche l’épaule et l’on entend le bruit d’un ressort.
Les — oi — seaux — dans — la — char — mille,
Dans — les — cieux — l’as — tre — du — jour,
Tout — parle — à — la — jeu — ne — fil — le
D’a — mour !
D’a — mour !
Voi —là
La — chan — son — gen — tille,
Voi — là
La — chan — son — d’O — lym — pia !
— Ha !
Tout — ce — qui — chante — et — ré — sonne
Et — sou — pi — re — tour — à — tour
É — meut — son — cœur — qui — fris — sonne
D’a — mour
Voi — là