6e strophe. — | 9 vers : 8, 9, 8, 12, 12, 9, 12, 15, 19. |
7e strophe. — | 3 vers : 12, 12, 12. |
8e strophe. — | 7 vers : 12, 13, 11, 8, 8, 8, 8. |
9e strophe. — | 3 vers : 15, 11, 16. |
10e strophe. — | 7 vers : 10, 4, 6, 8, 7, 6, 8. |
11e strophe. — | 9 vers : 10, 12, 14, 13, 16, 13, 9, 14, 10. |
12e strophe. — | 9 vers : 12, 12, 12, 9, 9, 15, 12, 8, 4. |
13e strophe. — | 6 vers : 13, 6, 14, 13, 6, 10. |
La même démonstration pourrait être tentée sur d’autres morceaux des Derniers vers. On n’en trouverait point qui soit composé d’après une formule unique. Là comme ailleurs, Laforgue professe la plus absolue liberté.
Sa langue n’est pas moins libre, dans l’acception la plus large du mot. Elle saute avec une verve égale de la gravité philosophique à la rosserie de l’argot. Elle est tour à tour solennelle et populacière. C’est le style de la conversation enchâssé de tournures originales ou piqué de comparaisons
- ↑ Le signe ʌ indique que la première rime est assonancée avec la seconde.