Page:Bastien - Le rêve de Petit Pierre, paru dans L'oiseau bleu, jan à juil 1923.djvu/77

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

nuages qui changeaient de couleur et prenaient, par endroits, un bleu d’une délicate transparence… puis tous les arrêts aux gares où des gens toilettés et joyeux le saluaient au passage, en agitant leurs mouchoirs. Et les gâteries dont son père le chargeait dans le train : des noix, des fruits, du chocolat et du cream soda qu’il achetait dans le wagon.