Je vous en prie !
Ah ! vos prêtres, cette religion, comme je les déteste ! Je me suis épuisé contre des ennemis invincibles… car vous ne me voyez plus, mais ma mère m’a trouvé changé à un point extraordinaire ! Je suis devenu nerveux, irascible. Je me sens positivement à bout de patience. Si vous m’aimez, faites attention, ma tendre amie ! Je ne devrais pas vous parler grossièrement comme je le fais, à vous qui êtes la délicatesse même et qui avez sur vous-même des pouvoirs et des dominations que je n’ai pas… mais il est nécessaire que vous sachiez où j’en suis…
Alors vous ne m’aimez plus ?
Mais si, mais si… je vous aime toujours et c’est bien ce qu’il y a de terrible ! Seulement, je déclare que ma vie n’est plus acceptable.
Et la mienne, donc, Julien qu’en faites-vous ? Et mes mérites, et mes épreuves, et mes tentations ?
Mais non, vous n’en avez pas !
Hélas !
Ce n’est pas vrai !… ou vous n’en souffrez pas, ce qui revient au même !…