Page:Bataille - Théâtre complet, Tome 9, 1922.djvu/370

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FRÉDÉRIQUE, (à bout d’effroi et de résistance.)

Julien !…

JULIEN.

Ma femme… De toute mon âme, de toute la force de ma tendresse et de mon secours… et pour toujours… ma femme !…

(Il l’enveloppe de ses bras, dans une grande étreinte de pitié et d’amour, puis se dirige vers la porte. Il l’ouvre lentement, entre et referme, pendant que Frédérique recule jusqu’au fond de la pièce, les mains aux oreilles comme pour ne pas entendre le bruit d’une catastrophe.)

RIDEAU