Page:Baudelaire - Lettres 1841-1866.djvu/321

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moi qui parle ainsi). Je crois même que d’abord le public est un peu étourdi d’une pareille origina- lité. Il y a si longtemps qu’il n’a vu cela.

A THEOPHILE GAUTIER

29 Avril 18G1.

Mon cher Théophile,

Tu te souviens que je t’ai parlé d’un vieil ami, M. Rodolphe Bresdin, qui nous est revenu, après douze ans d’absence.

J’ignore si ses dessins sont reçus au Salon ; mais, en tout cas, il est bon que tu voies quelques mor- s’aux de lui. Je te connais assez, pour deviner qu’il V a, là, des choses qui te plairont infiniment. Reçois donc Bresdin, comme \x\\c vieille connaissance ; il te fera peut-être cet effet, quand tu connaîtras ses ’livres.

Tout à toi.

A POULET-MALASSIS

I. — \ (MIS II ti\(’z aijriinc certitude que la pro-

[>riété df »s Fleurs et des Pdnidis vaille 5.000 fr.

l-i’ Mit peut-être pas cela, (ictnellement :

! elle peut valoir, plus {’àrà^ beaucoup plus.

11 s ; ,M : ni n,.vsil »l.> ’.\\\« \ fjnc Les Fleui’s suffisent,