Page:Baudoin - Recueil d emblemes Tome II.djvu/1037

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‘ Its secnù àu CtêHxC\t'«L ■mmls , qire ſe donnent que f les plus dviſez*. Cat qumà ûs p ſ romre leurs chdnes, à fi *eji'Wtr- . des nMfx qu’ils endurnt, ûs Je Uij- ſent aller inſçfljìílemM c# dlAUtns mdhuYseìicoripires.\t*¥&% Cette Fable, que j’ay prise pout sujct de cêt ■Emblême , s’appli-f que diverſemeiit , Si ſe doit en-- tendre de ces Eſprics curieux ,quí font les ſubtils arechercher les, myíleres de la Theològie , ou qui s’imaginenc de pouvoit encendre .les Oracles de la Eoy Chrestien-* ne , par des raiíoiïfïnaturenes ; 8c qui ſont meſme si hardis v que de voulois penetrer juſques dans les ſecrets du Ciel ſans' coníìdcrer quil y a IV haut des- lumieres ÍI brillantes, que les yeux des hoſíi- mes ^en ſçauroient jamais ſouf- nW-\ CClaîp’ <ìUclclucs clair-voyans ^ 1 s puiffcnt estre. Aquoy ſerap- k akm t“*Um uh,, qui T %