Page:Baudoin - Recueil d emblemes Tome II.djvu/1142

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

’QFF bicns de Ihomme encore plus content ,• & que ] plus court chemin pour arrivct aux richestes, est de les tenir pour dndistcrsntes. Je trouvé excellent à ce propos ■un trait de Socratc, qui dans une -converſatio nvoyant qu’Alcibiades ne parloit d’autre choſc que des rnaiſons qu’il avoit aux champs , luy demandaſi dans une Carteu. niverſelle du monde , qu’il luy moncra pour cét effet, il ne pour- roit point reconnoistre les terres. A quoy Alcibiades ayant répondu que non ; D’où vient donc 3 luy repliqua ce Philoſophe, quevous vous picqucz íì fort d’une chofe qui n’est point en tout le monde» C’estoit ſans doute pour luy faire voir la vaine apparence des choſes d’icy basqui n’ont en efſet qu’ua faux éclat, à comparaifon de la vertu , dont les lumieres ſont vraycs , & toujours pures. AuíTr •ii v a-t’U point de threſors qui luy puiUení