ílp6\tshpïly a des Femmes <*§ Le plaijìr des Mortels Iefface * Et leurs rìs ſont ſuìvìs deſeurs ; JjhiaiMpourIes Imreraux mal-heurs La Fortune change de^ſce. * •II faut donc bien dirc , ^uccc ne peut estrcque par une particu- lìere grace du Ciel , qu’on void parmy nous des perſonnes excraot- dinaires, & des Heros inyinciblcs ,dans toute ſorte d’éyenements. Leur eUyidíGenie leur infpire l’art de trouver le calme dans la tem- peste ; quelque violente qu’elle ſoit, ils n’ont pas moins de cou- rage à ſe l’aíſujettir, qu’en eut au- tres-fois Ccſar. .Les plus dangc- rcux écueils leur ſont des Havres; 5c il est à croire que cette mpſme Providence qui les a eílevcz par , deíſus la condition des autres hom¬ mes , prend aussi le ſoin de les y
- Conſcrver , en leur ſaiſant vaincre
l’Envie. A quoy ils contribuent infinimcnt par leur grande vertu. «Car celle des grands hommes com-
