Page:Baudoin - Recueil d emblemes Tome II.djvu/462

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mt plus ÏÏfcm. sf ras donc, que nous stui ^°mmCS, Gaulois , ne croybiis pas comme ſont les Grees , que Mercurc ſoit le Dieu de l’Eloquence. C est une loiìange que nous dontìons a ^ cule qui a de beaucoup furpaffe Meïcute en l’A'rt de bien dire : Et partant ne trouvé pas étrangc, fi nous le repreſentons vieil Sc che-- nu ; ear cíest principalement vers- le déclin de l’aage que l’Eloquen- ceſefait paroistre. ïl ne faut pas s’étonner au reste r si tu vois que ce Vieillard tvenc attaehces par les" oreilles tant de ſórtes de perſonnes. Car il 11 est pas que tu ne ſçaches bien que tel- le est la force de rEloquence, re- preſentée par Herculc -, Sc que tu ne connoiffe encore la grandeſym- pathie qu’ont les oreilles Sc lalan- gue. Que si la sicnne est percée , ce nelt pas ſans une grande raiſon: SC le me ſouviens à ce propos de eertains vers Comiques,qui^iſcnt. E iiij