Page:Baudoin - Recueil d emblemes Tome II.djvu/560

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.\ton de ïfnìon mtMelle•\tfU 'eorps ſc porte mal. Au contraire, ,*il v enaquelqu’un deretranche', tous les autres s’en resscntent y 8c deperiífent cnfin- Geux qui lont un baftíment , ont beau joindrc une picrre à l’autrc, avec ſymtne-* ttie. Celane#leut ſert de fien> s’ils n en cimentènt les ouvertures avec du plastre, pour faire que l’édifîi ce íubsiste. De cette meſme fa* çon , il est impoffiblè de rendrc le bien public de durée, autrcment que par la Concordê. C’est elle qui , luy l'ert de citnent, &: qui en fait j, la liaiſon, Elle cst une Eorteref- ^ ſe imprcnable , où les Grands & ,f les petits, les Citoyens & les E-. jf. trangers} les Amis & les patens, i Je pour le dire en un moc, tous ^ les hommes du monde fontà cou-

ií V,ertrT TCS ſortes de violences,

t %sihus le voulut ainst donner \é COnnoiftre, > l°*s que quelqucs-un? ^ ï- Ia Capitale de ſon Royay.