Cette page n’a pas encore été corrigée
discòors xxi. Qu’ìl y a des hommes toujours egaux , ^ dans les ſucce'z > bons & ntaumìs. Les courdges des hommes ,clitTa- cite , vontmollement U fluſfart du temps , & diviennent Idches dans les dlſgfacés de la Fort me. Ce qui ne semblera pas étrange à qui ſçau- ta bien conſiderer , que comme chacunest amourcux de ſoy-même, chacunauffi n’estpas moms prompt a ſuweles cboſes qui luy plaiſent, qu il est ardant a fuir celles qui luy ſont deſagteables, Ainsi ce n’ese pas merveille , fi par je ne ſçay í quelle foìbleffe auachce à rhom- i me , ſa joye finit mſenſiblement , i à meſure que ſa proſperitê ſe tcr- Rij
