Page:Baudoin - Recueil d emblemes Tome II.djvu/607

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Ifaôti\tJQu’d y * des hommes\t'f s’offencerent tous les amis deCá-í ton. Luy ſeul neanmoins ne s’en cmeut point, &; paflk la nuit dans une tranquilité merveilleuſe. Le lendemain matin il fut \ la place où voyant le Temple de Castot cnvironné de ſoldats , Ceſar & Metellus joints enſemble 3 & tout le monde en alarme , il ſe prit à, l'ire : 8c ſe tournant vers ſes Amis: O le UJche ! dit-il , qui a levê tm de troupes contrc un ſeul bmm defir- me l II ſendic la preije en meſme temps ſuivy de Munatius, l’un; des bons Tribuns , il monta juf- qttes au plus haut de l’Eſcalier,, où il s’aífit entre Geſar &: Mèteſ Ius ,.malgré lequel il vintà bout de ſon genercux desscin : & em- pécha que la Loy.propoſée ne fut receuë- Le ſecond cxemple de cet¬ te probité religieuſc & ſevere, que tout le monde admiroit en luy , étonna particulierement le gtand Ponipée. La Eórtuuc qu’il