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■discours xiî. De l’En'vie, à âe ſes Tſets. CEtte Pemme épouventa- ble, ou plûtost cette Eureur, que vous voyez icy peints , ſc nomme l’Envie. Elle n a pour tous cheveux, ny pour toute nourrì- ture , que des Serpcns, 5c fait ſa dememe ordinaite dans une Ca- verne , où elle est toujours cou- chée, í'ans que toutesfois elle re- pofe jjtnais. Lemal quelleſedon- ne du bien d’autruy , la rend íì deffaice, qu’à voir ſapeau retraiſ- sie, ſes mcmbres décharnez > SC ſes os qui luy percent la peau, on la prendroit plutost pour un fquelet- te que pour une C-reature vivante, ne vit-elle pas} puis que les:
