Page:Baudoin - Recueil d emblemes Tome II.djvu/907

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Coiún les ïmtwrtû 9Ì H ny ait ne» a mìndre. Comme auconmm^Unelefiìhtlfiumt étontií qiïil vtm soudmmcnt' les ebevaux dewnus ìndomtables^ stm- porter à pUine courſe, & entmner asfi- ſi le Chanot, ll verra , diſ-je , l’m faire des degaſs & des ravages par tout, pour alfouvirſa brutalc Concupiſceiïce : l’autre ſe preápìttr hazardcuſement dans to 'us les dangers , ou ſon inſolen- ce & fin humur imperieujè rexpoſè- ront : îun courìr à la ſervitude , a U molleſſc ,& à la fdneantìſe s fautre au tumulte , a la trabiſon , & a tìnfa- mìe. Voila cependant qiiau milìeu de ccs deſordres, & le Chanot ét le Co- cher ſe tmvent fì emharrajſez , quils ſont conmints de ſe Uijſeraller à fap- petìt àu Vaìnqueur , qui les proflitué ordinérement a toutes firtes de volup- tez, éde mauvtiìſes att'ms ;sibicn qrt’il les jette enfin dans un goufre de mlheurs d’oìi ils ne pewvem jamaìs ſè Tr' r n ensuitc <lue ces acci- dens fimeítes n'arrivent jamais auX hommes, que lors qu’ils perdcnç