Page:Baudoin - Recueil d emblemes Tome II.djvu/934

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gue h Cltmntt fait efiìmv te de pecbtr. Voila quelle est la p lee de Lipse, qui ajonte pour c0n clusion, que de toutes les vertu celle-cy , pour estre la plus ê' maine , est aussi la plus propte i la plus ſeante à l’hommc. Or b\e que le Prince qui les met en pta. tique , en doive étre loiié ; st ce qu’etant étably de Dieu à, /1A j\t,\t7\t>\t0\t« clu du peuple non pas tant pout luy-meſme , que pour les ſujets & pour le commun bien de soà Etat , il doic avoir un ſoin tres. particulier de pratiquer la clemen- ce. Láraifon est , dautant quepat elle il peut accroîcre &í conſerra les Proviuces , joint que c’est le, vray moyen de gagner à ſoy les volontez , 6c les cœurs de ceux qui vivent ſous ſon Empire. Cat ìl n’y a point d’homme ſi peu ſetr- íìble à la reconnoissanee, qui apres avoir failly contre les Loix , merité punition , n’aime inEni- ment ſon Prinçe ? s’il voit que luy gouvaûî.