Page:Bergerat - Souvenirs d’un enfant de Paris, vol. 3, 1912.djvu/293

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mon affaire !… Et ce disant il empoignait un tamaris qu’il déracinait d’un geste herculéen et qui lui restait dans la main.

Donc, je retrouvai le scénario de ma pièce normande, et, repris du cacodémon, je la mis sur pied en quinze ou vingt dimanches.