Aller au contenu

Page:Bernard - Le Comte d Amboise vol1.djvu/102

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

re, & toute la grace que je vous demande, c’eſt que vous m’appreniez mon malheur tout entier. N’ai-je point de Rival ? Avoüez-le moy. Devez-vous douter que je ne ſois indifferente, lui dit Mademoiſelle de Roye, puiſque vous ne m’avez pas renduë ſenſible, vous qui m’eſtiez deſtiné ? Helas, Mademoiſelle, lui dit-il, voſtre cœur pouvoit eſtre prevenu… Prevenu, luy dit Mademoiſelle de Roye ?