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Page:Bernard - Le Comte d Amboise vol1.djvu/132

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feignant de ne s’en appercevoir pas, la fit approcher d’elle, lui diſant qu’elle eſtoit trop éloignée du reſte de la Compagnie.

Lors que Mademoiſelle de Roye fit reflexion ſur ce qu’il lui avoit dit, elle crut que ces propoſitions s’eſtoient faites ce meſme jour, & que des raiſons de haine ou d’intereſt, avoient déterminé ſa mere à un refus ; ainſi elle concluoit qu’elle n’épouſeroit point Sanſac, dans