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Page:Bernard - Le Comte d Amboise vol1.djvu/151

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combien les choſes qui l’avoient flaté, eſtoient foibles. Enfin, il s’abandonna au déſeſpoir auſſi facilement qu’il s’étoit abandonné à l’eſperance, & il ceſſa de voir mademoiſelle de Roye.

Elle avoit pris une reſolution qu’elle avoit de la peine à ſoûtenir, ſa triſteſſe eſtoit extraordinaire, & d’Amboiſe n’eſtoit pas aſſez heureux pour ne la point penetrer. Les ſoupçons qu’il avoit eus de