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Page:Bernard - Le Comte d Amboise vol1.djvu/88

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avoit laiſſé des biens ſi conſiderables, que la pensée de pouvoir faire une fortune éclatante à ce Marquis, aida encore à la ſeduire pour luy.

Bien qu’elle dûſt connoître que les ſoins qu’il luy rendoit, n’avoient pas le caractere de l’amour, on ſe trompe aiſement ſur une matiere ſi delicate. L’application qu’on apporte à l’examiner, eſt un moyen preſque ſeur de s’y méprendre. Ainſi Madame de