Page:Bertrand, Gaspard de la nuit, 1920.djvu/108

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déjà, dans l’épaisseur des halliers, qu’éclaire à peine l’oeil phosphorique du chat sauvage tapi sous les ramées ;

Aux flancs des rocs qui trempent dans la nuit des précipices leur chevelure de broussailles, ruisselante de rosée et de vers