Page:Blanc de Saint-Bonnet - La douleur, Maison de la bonne presse, 1911.djvu/286

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ténèbres ! Il n’a pas été dans sa vie une seule heure sans souffrir ; si, pour nous, il y avait un moyen meilleur, il nous l’aurait sans doute appris. Toi qui nais d’un désir de Dieu, âme si belle, ne te sens-tu pas emportée vers Celui qui, de prime-abord, s’est révélé à toi par le présent divin, éblouissant de l’existence ?.....