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III


Souvent même, tombent sans lutte
Les trônes placés le plus haut ;
Leur poids seul suffit à leur chute…..
Grandeur funeste ! — Heureux plutôt,
Heureux l’homme content de vivre
Loin des orages, qui ne livre
Sa voile qu’au zéphyr joyeux
Et glisse, écoutant leurs bruits vagues,
Sur le mobile azur des vagues,
Sous l’immobile azur des cieux !



FIN DU PREMIER ACTE.