Page:Botrel - Contes du lit-clos, 1912.djvu/224

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Et, depuis lors, sans paix ni trêve,
Le navire et le petit gâs
Voguent vers le pays du Rêve,
L’un serrant l’autre dans ses bras…
Du petit gâs ne faut point rire,
Amis, nous mourons de son Mal :
Chaque jour un de nous chavire
En courant après l’Idéal !

Pour le même petit Navire
Combien meurent de pauvres Gâs !!!








(Musique de Désiré Dihau. — G. Ondet, éditeur.)