Page:Botrel - Contes du lit-clos, 1912.djvu/290

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III

Mais, voyant mes alarmes,
Le cœur compatissant
A versé quatre larmes,
Quatre larmes de sang
Cette épingle, sanglante
Du cœur miraculeux,
Il faut que je la plante
Au cœur de l’Oublieux !

Et je verrai sans peine
S’il a le cœur plus sec
Que le vieux cœur de chêne
De monsieur Saint-Guirrec !








(Gregh, éditeur.)