Page:Boucher de Perthes - Voyage à Aix-Savoie, Turin, Milan, retour par la Suisse.djvu/196

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Quand j’en eus assez des belles dames et du bruit des cuillères dans les tasses, je fus, à la lumière des étoiles et des réverbères, revoir la promenade du pont dont la position m’attirait. Même dans cette demi-obscurité, la vue y était belle. Le temps, calme et doux, y avait attiré d’autres promeneurs et pas mal de promeneuses, mais l’obscurité croissante ne me permit pas de juger du plus ou moins d’éclat de ces papillons de nuit.