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Je ne renonce pas à ma noblesse humaine.
Si la Nature veut m’asservir à ses lois,
Ame fière, j’aurai ma révolte parfois,
Et je crierai vers Dieu, si c’est Dieu qui nous mène !
Penché sur le cruel mystère d’où je sors,
J’ignore si jamais j’en pourrai rien connaître ;
Mais le cri du devoir retentit dans mon être,
Et je n’ai jamais pu douter de mon remords.