Page:Bouquet, Martin - Recueil des Historiens des Gaules et de la France, 7.djvu/36

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mais aiant qtt ?’ abandonné par la plus grandi* partie des siens il fut obligé de retourner sur ses pas le douze de INovembre. Trois mois après aiant rassemblé ses troupes, il retourna vers Louis, qui se voiant abandonné presx que de tout le monde se retira du I*ionnois. Dans le tems qu’il s’arrêta en France, il en passa une partie au palais d’Atti^ni. Il étoit doue dans cet endroit, lorsque les Evèques du parti île Charle lui écrivirent dans ce même mois de Novembre cette Lettre toute d’or selon la remarque du l Sirmond. .li- m’abstiens de rapporter ici les ar^mnens des autres Lettres j’ajoute seulement 1 que dans la w 1 llmcmar l’ repon» ! ait ,10111 du K01 a une Lettre trevai^re du 1*. Vdrien. Chai le axoit reçu tleu Lettres de ce Pape, Tune tres-rude, et faillie tort douce. Charle. ue^li^eaiit ou dissimulant la douce s’attache uniquement a la- première et répond aec la plus grande xixaeitc du momie. Dans la Lettre qui suit il écril plus doucement au souxerain Pontile. l. Chai le tr Chauxe clans la preiniere Lettre raconte ce qui s’est l passe au Concile tenu à 1 ier> < en <S.