Page:Bouquet - Recueil des Historiens des Gaules et de la France, 10.djvu/7

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i i 1 A1’~ 1 k1w, · d j sr~ v ° "ita*c temporù mihèm9 ne minaè^pairt et, aw> HugonL Capeti, aUm r* se non tere, 6ona leetorù venu» ingénue skdiceret Cujus, Rabertl «*-JU 4 «*’ 1 genus ^fciit» âdnqtaœ dtstulimus, quia vaJdè n*W reperitur ohsciirum. j GUxber igitur,Mt observât D. /de Fo*0’ cemagne non pn^rediebatur »*qu<> ad Robertum Fortem, y Ruberti Régis patrem et proarum Hugonis Çapeti. Duo non-’ dum à Glabro s*c,da prvterie- ™»t, ci^ AÎbertcus,, Triumfontium Monachus et medii sx~<« !i i Xitl ’Chronogrnphus,. Bol’rrti Forth gradum sibi imuper o/ferrnti gratulatns est ; sed fa1 tehatu* intérim, déficiente doc` trina, .v, non pjfse tdtrà tender* Hu-o ri|ius «Hugonis, inquit J l^met 286, in civitate iNoviotll^ JleJf elevatus, (. »<mm «unis re-, ?avit. Avus JlMU-ni »,ju5 hegis Hugonis A ttev cfrcjfni invasor Robcrtus, J

  • » Mlo Sucssiouico fuit oc- c

risus ; Cl|j»s frater Rex Odo 4 clictns est. Horum paler Jcfiis est G>mes Hobertcis a< ^orlis,- Marchio de genere A fcftxoimm extractiLs ; cui Ca- ce ro[lIS ^Ivus Comitatum An- H, degavensem dederat in bene- de aciuni, tanquam viro f orti la cowtni Brittones et Nortman- soi .«as pugnaturo, et Reguum de ex illa parte defciisuro et iste rai ; ..Roliertus à Paganis Nortman- vai ««* fuit pectsus. UiteriÙ3 nés- faif averunt de -Mus. g»*. H*. M tonogniphi dice^e. Capetiorum ioi* Xegum detegend* originis ctsi œ t spem omnem adûnere vid^eniur mei ~it~,snrod~ : .·ra. c_ qui éèri.YÓit pour «^w* lors, après avoir nommé le père et le, rmr gw^-pere <fc. Hugues Capet, s’excufenuè soit de n’être pas remonté plus’ haut, < en disant ingéndement quW^ Haœ de cesdeua : gestions on ne trouvoit mtè quotité. Ainsi Glaber comme l’obfer serve M. de Fonœmagne, n’alloit pas même jusqu’à Robert le Fort, père du «" Roi Hobert I et bisaïeul de Hugues f" > Capet Deux siècles ne s’étoient ix)int »ro-. encore écoulés, depuis Gtaber, qu’Ai•^ beric, Morne des Trois-Fontaines et ne- Chroniqueur du milieu du treizième ™- siècle, s applaudissoit d’avoir donné de «*- plus le degré de Robert le Fort et

  • >- confessoit en même-tems que ses>c^nner

^^ncesnes’étendoientpsspluslÀin.. K’ Hugues/ fih de Hugues, écrit^ux rJer noi ssa, ’nces neS’é,ten, dO, je, nt pt :s P, lug"l in., «- pages 285 et 286, qui fut ^dL Roi

  • •• dons la ville de Moyon.regnk neuf«ns

«’ Robert son aïeul, oui fut Roi après avoir te usurpé fy couronné, fut tué à la bataille y <ïc Sohsons, ayant eu pour frère le Roi |S appelle Eudes. Ces deux derniers étoient IS fils élu .{ Comte Robert, surnommé le Fart >, **<»&«{ issu du sang des Saxons, à qui MWie Ckàu™ avoit donné à ttre de o kénéffce le Comté d’Anjou comme à un r vculUnt personnage, en état de résister s au* Bretons et aux- Nornmns et de 5 défendre le Royaume de ce eoté-tà or ce Robert f"1 t™ par les Normans. Us ̃ Historiographes ne nous apprennent rien de plus. Des déclarations si expresses de la part d’anciens Ecrivains, qui parois«ient nous ôter pour jamais l’espénmœ de découvrir l’origine de nos Souverains, n’ont pu empêcher plusieurs Scavans du siècle passé et de celui-ci, d en faire 1 objet de leurs rechercha, et de tacher 4e l’édaircir. On doit sans doute louer leurs efforts : cependant la suite de ce discours montrera s’ils ont suffîsamment réussi. JL • –11 m mm ,||J^||| HKi-J.*JMl et hoe nottro viri eruditi, qui’Roberti Fdrtis g’enui in-vestigàrunt- et, iliû, ~==’ ?~~ J’lent qur seql4iintur.