Page:Bouquet - Recueil des Historiens des Gaules et de la France, 11.djvu/180

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Duc d’Aquitaine pour Saintes et » urbe ». Jos/redus auttm « JîUum Louduri et que le Neyeu d’AV- suum commenJavU in manibus duiu Comte d’Augoulème lui frairi sua dlduino, Comiti Enrendit bonuuagç pour deux châ- » golum. propitr Castra duo teaux de la Saintoage. Il paraît » SanUmeiuis egri ». Hoiuiuiifurcependaut que Les. circonstances nia pro temporiùus et lotit varia qui accompagnoient hommage fuit. Si IfUUUna Malnwsbuont varié suivant ks teins, et les riensi fuies régnante Caroio lieux. Si l’on en croit Guillaume Simplice t pedem largitoris osde Malinesbury du tems de Char- culabatur. t’atsalliu pro s’usceples le Simple, celui qui recevoit to* bene/lcio et in conventione uu fiel, baisoit le pied de sou Sci- ’^ter V.UMmum Duccm, Hugueur. -Nous voyoua dans la oan- S°nem’lllc Dominum de IJziniavention faite entre Guillaume co » Roho 1 Episcopus EuçvDuc d’Atluitaine 1 et HuKUes de lùmensis hominium, />r**titis.<c Lusifeiian un Evèque d’Angou- "^moratur osculaudo brat^hiuui lème faire hommage au Duc d’A- Comiti. quitaiue, en lui baisant le bras.

Il y avoit aussi plusieurs espèces Xerfue utm /ait tum- t,m/x,ns d’hommages. Les Historiens Nor- homagii species. Scriptorrr Aormans affectent de qualifier hommage imirmi studiosi notant « Duciptur parage Celui que leurs Ducs ren- bus st*ù huvuntum Franriiv Kedoient à nus Rois cette exprès- gibus pnestitum fuisse per Parasioa est également employée, pour tfiuiu. Eorfcrn vocubulo daig/uiStgllifier l’espèce d’ilOtUUiage que ru’*( speciem hominii quo llriles Comtes de Bretagne ne fui- tanrùte Duces ergà Aor/na/miam soient qu’avec répugnance aux telielantur. Ducs dc’Monuandie.

Le sçavuitt Auteur de l’Usage gé- ExUtimavU rnulitus ,fmu>r uéral des Fiefs, prétend que Vhum- Opcris quod itucribitur Jtusu mage-lige n’a été introduit qu’au Feodorum gencrali lioiiiniiiini coiiuneiHXMuent du douzième aie- ligium non nùu seculo <i<«><1ninn> de et que le mot de lige ne se invunte in lirgno /•>«//<•• ,,htitrouve daus aucune pièce antérieure naisse Ijgii7«t> voeem anti- id,-m .«à ce siècle. Cependant Baudry qui a nultihi onurrerv. ,nimtaachevé sa Chronique de Cambrai et men apud BaUrricutn </h, ,-in-ù d’Arras vers l’an 1082, parlant d’un annun, |082 (hro,,i,o,r <<Châtelain de Cambrai qui vivoit r^-vnse et .Ittnbatcnu ,iJ :u,/nt sous Henri I, dit que ce Chevalier Joannrs Cameracvnsi* l’u.u,lia♦ ;toit homme-lige du Comte de nus, Hennvo eou-’vus, </< Huulrc. Mous pourrions encore liaLiuim Comitis Flandmv aciUt l’Auteur des Gestes des Coin- gins imU-s.fltcnun y««yH<tes d’Anjou qui se sert du tenue duci posset cumiplum r.i (.estis de c ttn-Uge à l’occasion de deux Consulum .̃u/rgawnsium uhi hommages rendus à GooUroi-Mar- GofJrUlus de Ca.it ro l’.unth.m bis tel |«r sou tilleul Geullrui dt. Cliû- dicitur lioffrido-Martello ( «imti U-au-donlier. Mais comme cet Au- homagium 1 ei li-li,,m-ii. I. tcur n’a écrit qu’après Tan ) risse nempè prumi ,“< r ,>n,t,, r P*"t se laire qu’il se soit cvprimé benejiemm à Comitr <u-<c/i7iin Ton. |0.

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