Page:Bouquet - Recueil des Historiens des Gaules et de la France, 11.djvu/230

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PlJEtA TJO. ccxxv Clcrici ssccttlares. ,rt/nr hoc fruits C’arnmetiftx élection) in/iontciv vbstiibat ut lù/uct crctnplv liidtiji Forojuticnsis Episcopi à Monucliu Montis-Majorts S tu s-ibbatem electi. Ijrmovicensi-Conviliiim anno 1031 ikerevit ut Monaclius ordinaretnr ./b/xis liclliloci scctimiùnt rcgulant, loco Clerici sam taris qui istain Ablnitiam in ( dmi/icni/ti i/ossulcha ! Ciraï (inniiin 101 i, W’ilti Imus, /)/«̃ ./ijnilani.v, .S. Corrufi s.rrularcix lt>btitem aminvrat, eut ri lïiilntvnt .S..Sa vint Ibbati m uhrogurit. d’Aquitaine chassa un Ablx l’Abbé Régulier de S. Savin. /•’crlfsm.ftii ̃»• disciplina’ niai ;i> congrue». rcçttlaris ( ummcnJu i/i <̃(> fiu.sita irai, ipmd ciuiltin, t’.X’iniiiV pii’tatiy prolnitii’ipii’ tirtuti, .Ibbati uriius vvl pluriurii Mdii(i.t( i iitrum l’uni </t ntfim/itrctnr sic W’ilh Inius Pi rin/u //»/.». Ru Iku (hiy S. f’ituni, /’oppo .Sta/>i//<riM,s iy*r> Jw/i -impie t< nipoi’c pturiuni MoiHnlcrmrtini .̃fhluiti’s fiit’rc. /lce( ut i<>nhti mninulli.s placet e/usinoiii .>/<<> totii/em ( ’onai’ciZittniniiiit /’ni fcclin’liiii ne ii1 1 aliiiin niniKiu censcre .eil imineri ! n piun, ̃>. en eiilin .H’bdtes liant mii^i/loritui Monii.tteriormn m/minis trntiom su ;i’ cornnimuriiiii (uni iïaliluiiuis, ll(if)itri ;c (nuits, .•biititun .S. l i iltisti l’tipptmi S’ithulen.ti abbati etini/nemltis w t l’dastini Motiditcrti /«>v><,wiiein non juins iiJut Poppo tpiiiin I icentKiin olitinttijist t I m pertiton ditioni ciijiis crut obim.t tu > i.iumvero ipidtenùs .lbba S. l (i/’i/t, l’oppo fiitiirns citif I ti.s/i//w Flandrnr ( ’oiuitis <pio<-um tun< tmiporn m rontroi’rrwi et t ton tentiom vi rsuluit ur luipenitnr ( ;elei itru nru/<in Conmuivl.i V •" lu •V.H r • : 1 .• r.n4 ic C’.t •. H ir’ Time XI. 111 1 de Sens, sous l’Arclievèiiue Léotlréric fut ; |K>ssédée successivement par plusieurs Clercs séculiers. Cette sorte de Coinniciide étoit compatible avec l’élection comme il paroit par l’exemple de Kiculfe, Evoque ileFréjus, que tes Moiïics de MontMajour élurent pour Icur Al>l>é. Le Concile do Limoges de l’un KI31 regarda comme abusif l’usage des Coiiiiuentles séculières il statua que Ion établiroit un Abbé Régulier dans le Monastère de Beaulieu eh Limousin à la place «le l’Ecclésiastique Séculier <|ui la possédoil en Comineude. Plus anoionncinent Guillaume Ficr-à-bras Due Séculier de Charrou et v substitua Mais la Connncnde Régulière étoit plus conforme à l’esprit de l’Eglise. Kl le eonsistoil 1 a cou lier l’administration, d’un ou de plusieurs Monastères à i|iicl<|iic Abbc célèbre par sa piété et par sa régularité. C’est ainsi que (iiiillaume de Dijon, Richard île Saint aune, l’oppon di1 Stavelo ont été- Abln’-s de plusieurs Monastères à la lois. Ils élablisM>iont des Prévôts Réguliers jKMir gouverner en leur absence. Quelques moderne.^ les regardent connue des Supérieurs majeurs de (x)ii^K’^atioii mais ils étoiont de véritables Abbés des Monastères <|ui loir ctoieiit coudés. Le Comte de fia m Ires ayant donné à Poppou, AbIw de Stavelo, celui de S. aast en (.(tiiiineiide Régulière, Poppon n’en l’iil possession qu’après avoir obtenu le consentement de l’Empereur

  • ’ii Souverain, parce qu’en qualité

’I VI.U- de S. Vaasl, il alloit deve»ir à cet é^ard le N’assid du Comte de Haudres avec qui l’Empereur «. ̃ t « > î t alors en querelle. Au reste, la Coiuiiieiule ré^ulien- ne portoil ""«une atteinte 1. ai l’ind.’pendauce «iiiUiello des Abba.ves et elle iH’tablissoit aucun rapport de Con-