ccixiviij PRjÇFATW. tantiam Gregorius F, Serenita• tis verb Annam adornat Nicolaus II. ’l i ̃ Majestatis et Sanctitatis vocã bulU utitur Abbo scribens ad Gregorium F. Patrem et suam Sanctitatem Joaniem XIX appellat Fulbert us. Gervasitts autem Archiepiscopus Remensis optiraumPatreniPafum et Episccporum Episcopum vocat Nicolaum II qui Genxisium appellat venerabilem Archiepiscopum et vestram l’raternitatem. Metropolitano suo Excellentiam tribuit Fulbertus. Episcopi modo Patrum, modb Caritatis nonnunquàm Sen :nitatis titul’u decorantur. Sibimetipsi Majestatem adteribit Bruio iÀngoncmls Episcopus. Abbo largitur Magnificentiam cuit’am Abbati Serenitatem Fulbertus Einardo quem Abbatem /uiise Mabillonius existimavit et Hildegarius Celsitudinem Aq^itanias Duci. Mansuetudinis titùlum sibi tantum adsciscit Robert us I Dux Burg. in instrumenté Diplomàticis. Heec appel la tio Domnus, quœ propria facta est quorumdam Ordinum Religiosis, tune i promiscuè tribuebétur Principi- ] bus, Pontificibus et Ecclesiasti- J cis viris seecularis et regularis < insiituti. Canonici ]<vera et Mo- ] nachi speçiali nomine Fratrum I nitneupabantur proptrr vit» et t victtis societatem et çontmunitatem juam utrique profitebantur vel i orofiteri censebantur, t Ijabente seculo dteimo jam in mu erant cognominu ex divertis i vtimi et corporit dotibus vel ex i juibusdtun circumstantiis de- li mmpta. Sic à fcrtitudine Gof- c rridus quidam Asini cognomen a nvenisse dicitur. Aller verb Go/- Y rridus, Gelduini fîlius, ob venus- C tom. H. p. en. Tam. 10. p. . Uid.p. 473. Tom. U. p. . c Ibid. p. 493. Tom. 10. p. SI. Ibid. p. 174. Ibid. p. «<| ̃ ̃ :̃’ tf Ibid. p. 4lk. Ibid. p. 487. Ibid. p. 177. «le. 1 > i C i Tom. « p. I H. t
l)e CogtH>- –b.. a
s Thm. 10. 344. y il Ibid. p. 311. Constance par Grégoire y # jl Sérénité à la Reine Anne par fldfe las TT las H.. Abbon se sert des termes de /«<* et de Sainte^ en éMtaftfr Grégoire V. Fulbert donne .j iplement le titre de /»w à Je*/ A1X. Gervais Archevêque de’ Reims appelle Nicolas H trèt4nn Pere, très-excellerà Pert <>«* ` et E-véque des- Evéquet^tifooiM ff" se contente de qualifier Gerrais de c vénérable Archevêque et le traite dé r ;’ votre Fraternité. Fulbert appelle son me !tropo& tain votre Excellence, Les Evèquei sont décorés du nom de Pot ou, qualifiés de votre Charité j et même ri quelquefois de Sérénité. Brunoo Evèque de Langres se donne à lui-même le titre de Majesté. Abbon donne à un Abbé celui de Afagitificence. Fulbert prodigue la Sérénité à un particulier nommé Einard que D. Mabillon croit être un Abbé. Hildégaire traite d’Attesté le Duc d’Aquitaine. Robert l, Duc de Bourgogne, se donne seulement dans ses Diplômes le titre de notre Mansuétude. Celui de Domnus qui est devenu particulier aux Religieux de quelques Ordres, s’attriLmoit, alors indifféremment aux Princes, aux Evêques et aux Ecclésiastiques séculiers et réguliers. Mais les Chanoines séculiers et les Moines portoient spécialement celui le Freres à cause de la vie comnune que les uns et tes autres metoient ou devoient mener dans ce ems-là. Nous voyons les surnoms en (sage dès la fin du dixieme siècle ; ls étoient tirés des différentes quaités du corps et de l’esprit ou de ircoDstances particulières. Cest insi qu’un Gçoffroi est surnommé Asne à cause de sa force un autre ieoffroi fils de Gilduin portoit
